Forbidden Stories déploie sa première campagne d’appel aux dons

« Tuer le messager ne tuera pas le message » : une campagne percutante pour défendre le journalisme

Dans un monde où la liberté de la presse est chaque jour plus fragilisée, Forbidden Stories frappe fort avec une nouvelle campagne d’affichage poignante. En collaboration avec l’agence VML, l’organisation internationale de journalisme collaboratif met en lumière les dangers auxquels sont confrontés les journalistes d’investigation – et propose au public d’agir.

Au cœur de cette initiative : cinq visuels minimalistes, sombres et marquants, conçus pour interpeller. Mais surtout, un QR code discret mais puissant, véritable symbole de résistance. En le scannant, chaque passant peut faire un don pour soutenir la mission de Forbidden Stories : poursuivre les enquêtes des journalistes réduits au silence.

Un QR code comme geste citoyen

Ce QR code, simple en apparence, devient un outil d’action concrète. Il transforme chaque spectateur en acteur de la liberté de la presse, lui offrant un moyen direct de contribuer à des enquêtes menacées par la censure, la violence ou encore la corruption.

C’est là toute la force de cette campagne : utiliser la technologie pour mobiliser l’engagement citoyen autour d’une cause vitale. Parce que face à ceux qui cherchent à faire taire les journalistes, il est essentiel de continuer à faire vivre leurs enquêtes.

Une esthétique sobre, un message puissant

Pensée par VML, cette campagne se distingue par son esthétique épurée et ses messages percutants. Les visuels vont à l’essentiel, sans fioritures, exposant des réalités glaçantes : assassinats ciblés, collusions mafieuses, censures étatiques...

Chaque affiche est une piqûre de rappel : le journalisme indépendant est plus que jamais menacé, et chaque voix compte pour le défendre.

En somme, cette campagne ne se contente pas de sensibiliser – elle incite à l’action. Et elle nous rappelle que si l’on peut faire taire un journaliste, on ne pourra jamais étouffer la vérité tant qu’il reste des citoyens pour la faire vivre.